Facebook, Google et autres révoutionnent la toile. Les journalistes débutants en sont les premiers bénéficiaires. La diffusion d'idées avec de petits moyens ne dépend désormais plus que d'un clic de souris.
L'ère du reporter à la plume et au carnet vieilli est révolue. Dans un article du 6 décembre, le New York Times s'intéresse à la question. Aujourd'hui, les jeunes journalistes doivent affronter un monde de médias en pleine transformation. La fragilité économique de la presse écrite et la saturation audiovisuelle repoussent les nouveaux arrivants vers le portail de l'avenir : internet.
Alors que le passé réservait à l'édition mille complications techniques et financières, les services offerts par le web adoucissent la besogne. Besoin de créer un moteur de recherche ? Google s'en charge automatiquement. Mieux encore, la révolution Facebook et sa capacité à abriter des services en ligne ouvrent une voie jusqu'alors inaccessible aux journalistes les plus novices et démunis.
Certes, l'optimisme a ses limites, et les nouveaux arrivants dans la jungle journalistique devront se frayer un chemin. Pourtant, la génération du web a un réel avantage sur ses prédecesseurs. Le problème de la diffusion est adouci, reste alors à trouver l'inspiration.
http://www.nytimes.com/
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